đŸ”„ Parfois j’ai le sentiment de ne pas en faire assez
 Et si c’était normal ?

đŸ”„ Parfois j’ai le sentiment de ne pas en faire assez
 Et si c’était normal ?

 

« Tu ne travailles pas vraiment. »

« Tu pourrais faire plus. »

« Tu as trop de libertĂ©, ce n’est pas sĂ©rieux. »

 

 

 

Ces pensĂ©es tordues me traversent parfois l’esprit. Et je suis sĂ»re que je ne suis pas la seule.

 

Pourtant, aujourd’hui je suis indĂ©pendante, Consultante en RSE, Coach de Dirigeants, profondĂ©ment alignĂ©e avec mes valeurs d’écologie, d’humanisme, d’utopie constructive.

Je choisis mes clients. J’organise mes journĂ©es. Je crĂ©e du lien. Je transmets. J’accompagne des leaders qui veulent un monde meilleur.

Alors pourquoi ce sentiment de ne pas faire assez ?

 

 

 

⚡ Un conditionnement invisible
 mais tenace

 

Ce ressenti ne vient pas de nulle part.

Il est hĂ©ritĂ© d’un systĂšme professionnel dysfonctionnel que j’ai cĂŽtoyĂ© (endurĂ©) pendant plus de 30 ans :

 

đŸ”ș Trop de rentabilitĂ©, toujours au dĂ©triment de l’humain

 

⚙ La quantitĂ© plutĂŽt que la qualitĂ©

 

đŸš« Des managers misogynes, toxiques

 

đŸȘ“ Une culture du « diviser pour mieux rĂ©gner »

 

🐍 Des collĂšgues malveillants, envieux, prĂȘts Ă  tout pour grimper

 

💣 Et parfois
 du harcùlement pur et dur

 

 

À cela s’ajoutent un cancer, un burnout, et cette lente reconstruction physique, Ă©motionnelle, existentielle.

Alors mĂȘme si aujourd’hui je suis libre
 mon corps et mon esprit ont gardĂ© des rĂ©flexes de survie.

 

 

 

🧠 Le trauma du « toujours plus »

 

Quand on a passĂ© des dĂ©cennies dans un systĂšme oĂč l’on t’évalue sur ta productivitĂ© visible, oĂč l’on te chronomĂštre, oĂč le moindre Ă©cart est suspect



 alors le silence, la lenteur, le plaisir et la liberté peuvent paraßtre anormaux.

 

C’est le syndrome du « je culpabilise de me sentir bien ».

Ou pire encore : « je ne mérite pas cette liberté ».

 

MĂȘme en Ă©tant Ă©panouie, mĂȘme en Ă©tant utile, mĂȘme en ayant un vrai impact



 je ressens parfois ce vieux spectre du « pas assez ».

 

 

 

 

đŸŒ± Se rĂ©approprier une autre dĂ©finition du « travail »

 

Aujourd’hui, je choisis de dĂ©sapprendre.

 

DĂ©sapprendre qu’il faut souffrir pour mĂ©riter.

 

Désapprendre que seule la pression crée de la valeur.

 

Désapprendre la compétition, la défiance, la méfiance.

 

 

Je choisis de réapprendre une autre façon de travailler :

 

✹ Une activitĂ© alignĂ©e avec mes valeurs

✹ Une Ă©nergie circulaire, collaborative, bienveillante

✹ Des rythmes respectueux de mon corps, de ma santĂ©

✹ Des accompagnements profonds, sincùres, transformateurs

 

 

 

đŸ€ Et toi, as-tu dĂ©jĂ  ressenti ça ?

 

Tu es entrepreneur·e ? Indépendant·e ? Coach, Consultant·e, Thérapeute, créatif·ve ?

Tu t’es extrait·e d’un monde de contrĂŽle
 mais tu en ressens encore les sĂ©quelles ?

 

Ce sentiment de ne pas en faire assez est peut-ĂȘtre un signal.

Pas un signal que tu dois « faire plus » 

Mais un signal que tu es en train de guérir.

 

Et que cette guĂ©rison demande de la patience, de l’amour, de la douceur.

Pas de la productivité.

 

 

 

💬 Et maintenant ?

 

Si toi aussi tu ressens cela parfois, je t’invite à :

 

🍀 Me partager ton vĂ©cu en commentaire ou en message privĂ©

 

🍀 Prendre un moment pour respirer, observer ton chemin parcouru

 

🍀 CĂ©lĂ©brer chaque instant oĂč tu es fidĂšle Ă  toi-mĂȘme

 

 

Parce qu’au fond, le vrai travail, c’est d’ĂȘtre soi.

 

 

 

👇 Et si on commençait à valoriser cela, ensemble ?